Biographie
Je fais partie de ces maintenant curieux spécimens sans page facebook et compte twitter et autres facéties postmodernes, autant dire que je suis à classer dans la catégorie "handicapé technologique avec conséquences dramatiques sur l’insertion sociale et l’illusoire notoriété". Bref. Cela ne m’empêche pas de sourire ou de cautionner les propos de certains candidats dans leurs remarques, lorsqu’ils s’interrogent notamment sur le bienfondé de tout ce fumeux dispositif... Ceci étant : je bois du café, parfois trop, je traumatise toujours les papyrus, mes élèves, je daigne partager mon canapé avec les chats (et mes enfants de temps en temps), je tente vainement de vivre en accord avec le présent et moi-même entre deux siestes.
NB du 10 aout : si je ne réponds pas aux commentaires, ce n’est pas de l’indifférence ou du snobisme... je ne veux pas de compte Facebook, CQFD. Mais je trouve plein de candidats fort sympatoches, touchants, plein d’humour et de qualités d’écriture ! Mon mail pour ceux qui en ont marre de faire des commentaires qui restent lettre morte : helene.pequignat@laposte.net. Promis, je réponds.
NB du 21 aout : ce que je raconte dans l’interview, c’est rien que la vérité... puisqu’ils le disent... pas sûr que ça m’attire plein de votes mais j’ai bien rigolé, même s’ils ont enlevé tous les trucs croustillants au montage (eh oui). Les 20 premiers qui me mettent un message sur mon compte Facebook que j’ai pas gagnent une bouture (de papyrus, ignares !) Les autres ont le droit de m’assommer à coups de poissons.
ND du 26 aout si certains lisent encore les trucs qu’écrivent les candidats : il y a comme qui dirait une sorte d’inflation des points de vote que c’en devient éminemment louche, dites donc ! Rien de nouveau sous le soleil, puisque c’est déjà le cas depuis le début ; on n’est pas, contrairement à ce que souhaiterait Mr Mojon, le meilleur écrivain parce qu’on a le plus de votes. On sait juste bidouiller avec l’informatique un peu mieux que les autres. Quelqu’un aurait dit, paraît, que les premiers seront les derniers...
NB du 10 aout : si je ne réponds pas aux commentaires, ce n’est pas de l’indifférence ou du snobisme... je ne veux pas de compte Facebook, CQFD. Mais je trouve plein de candidats fort sympatoches, touchants, plein d’humour et de qualités d’écriture ! Mon mail pour ceux qui en ont marre de faire des commentaires qui restent lettre morte : helene.pequignat@laposte.net. Promis, je réponds.
NB du 21 aout : ce que je raconte dans l’interview, c’est rien que la vérité... puisqu’ils le disent... pas sûr que ça m’attire plein de votes mais j’ai bien rigolé, même s’ils ont enlevé tous les trucs croustillants au montage (eh oui). Les 20 premiers qui me mettent un message sur mon compte Facebook que j’ai pas gagnent une bouture (de papyrus, ignares !) Les autres ont le droit de m’assommer à coups de poissons.
ND du 26 aout si certains lisent encore les trucs qu’écrivent les candidats : il y a comme qui dirait une sorte d’inflation des points de vote que c’en devient éminemment louche, dites donc ! Rien de nouveau sous le soleil, puisque c’est déjà le cas depuis le début ; on n’est pas, contrairement à ce que souhaiterait Mr Mojon, le meilleur écrivain parce qu’on a le plus de votes. On sait juste bidouiller avec l’informatique un peu mieux que les autres. Quelqu’un aurait dit, paraît, que les premiers seront les derniers...
Motivations
Motivation fluctuante, comme ce temps qui est passé depuis le 1er mars: de l'enthousiasme aux questionnements et à la perplexité, lorsque les règles ne sont manifestement pas respectées (mais enfin, une règle, c'est bien fait pour être transgressé, non?); de l'amusement au dégoût de voir chacun se démener plus ou moins honnêtement pour amasser des votes comme on amasse des pépites ou des photos de vacances, c'est selon; du plaisir de la découverte de personnes atypiques et attachantes à l'affirmation des egos les plus outranciers... Version 2.0 de la comédie humaine, en somme. A part ça, je ne suis pas une fan de Balzac, qu'on se le dise... J'aime mieux les blagues carambar entre deux pages de la Critique de la raison dialectique.
Photo(s)
Livre(s)
Mes défis
Défi auteur n°1 : L’Écriture sans verbes
Souvenirs, souvenirs…
Une image, un visage : ma tante, lors de l’un de ses passe-temps favoris, le tricot. Enfin, pas n’importe quel tricot. Non. Le nec plus ultra, la Roll’s des tricots, le fleuron de la discipline : le jacquard. Valse de pelotes multicolores comme autant de ballons d’enfants autour de leur chef d’orchestre. Cliquetis des aiguilles dans le silence ouaté de la pièce. Pas de tranquillité, pas de jacquard en effet. Un rang à l’endroit, un rang à l’envers. Un coup d’œil régulier au modèle de référence…
Défi auteur n°2 : « Do you speak encore français ? »
Du swing au swag
"Sea, sex and sun...": au rythme de l'été, l'être humain se balance. Il balance d'abord ses fringues sur la plage, histoire de noyer sa TRISTITUDE (blues) dans les vagues spumescentes de l'océan salvateur. Même si c'est une ESBROUFFADE (bluff), c'est avec un certain panache et une jubilation certaine qu'il jette aux orties, quelques jours par an, ses obligations costumières dans un DEPOILETAGE (strip tease) quasi-intégral auquel échappera juste ce minuscule bikini-BRINDELLE (string) qui lui tiendra…
Défi auteur n°3 : Je ne conclus pas, je termine !
God's gamers, time surfers, Dieu a l'esprit joueur...
Nos deux rameurs, exténués, se laissaient porter par le courant. De temps en temps, ils plongeaient mollement l’extrémité de leurs pagaies dans l’eau maintenant apaisée pour rester en harmonie avec le rythme du fleuve. Malgré la fatigue, un léger sourire semblait flotter sur le visage de Thomas. Espiègle et taquin, comme à son habitude, il se tourna légèrement vers son compatriote occupé à barrer l’embarcation, et l’apostropha :
En somme, mon ami, tous ces « récipients », là, que tu nous as obligé à…
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