Biographie
Je suis né en Espagne et venu en France à l’âge de 8 ans. Ma mère a passé son enfance en Argentine ce qui a fait que le cône sud de l’Amérique latine m’a toujours beaucoup intéressé. J’ai fait des études de langues et de littérature en langue espagnole par intérêt et aussi pour retrouver mes racines. Ma vie professionnelle m’a conduit à voyager à de nombreuses reprises dans cette zone géographique dans le cadre de missions d’une organisation internationale.
Motivations
Depuis que je sais lire j'écris. J'ai commencé par transposer les bandes dessinées en prose et continué par l'écriture de textes plus ou moins inspirés par mes lectures. J'ai du mal à me concentrer sur une seule œuvre et cette dispersion jointe à une vie familiale et professionnelle bien remplie m'a handicapé pour réaliser des romans publiables. Il y a de nombreuses années j'ai découvert Didier Daeninck à travers son roman "Meurtres pour mémoire", ce fut un choc pour moi, pour la première fois un roman me faisait découvrir des événements historiques dont je ne savais pas grand chose. J'ai écrit "Si toi aussi" un peu dans cet esprit de faire découvrir une réalité aux lecteurs à travers la fiction. J'écris la suite de ce roman avec comme objectif de faire cohabiter une intrigue policière et une réflexion sur l'exercice du pouvoir politique. J'ai beaucoup apprécié des séries comme "Borgen" et j'aimerais créer des romans dans la même veine.
Livre(s)
Mes défis
Défi auteur n°2 : « Do you speak encore français ? »
UN DIMACHE
Le réveil n'avait pas sonné, la plupart des gens auraient trouvé cela normal, un dimanche deuxième jour d'une semainescence (week-end) et d'un repos bien mérité. Claude Bornand, lui avait du mal à s'y faire, pendant trois ans le dimanche était le jour de gloire pour lui. Celui où la télévision lui ouvrait grande les portes de ses antennes en préapothéose (acces prime time). Il avait fallu que cette intrigante d'Isabelle Lecavallier le déloge du créneau horaire prestigieux qu'il avait eu tant de mal à…
Défi auteur n°3 : Je ne conclus pas, je termine !
LE COUP D'ETAT - EPILOGUE
ÉPILOGUE
Son corps n’était plus que douleur. Il avait atteint un stade où il lui était impossible de distinguer l’origine des élancements qui parcouraient sa pauvre chair striée de balafres sur lesquelles le sang virait au noir en coagulant. Il gisait sur une planche au fond d’un cachot sans air ni lumière autre qu’une veilleuse destinée à permettre à ses gardiens de le surveiller. Le surveiller pourquoi faire ? Il aurait souri s’il en avait eu la force, il ne risquait pas de tenter quoi que ce soit,…
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