Biographie
Christelle Goffinet-Maurin est originaire de Marseille et maman de deux jeunes enfants. Depuis son plus jeune âge, elle est une incontestable littéraire. Elle adore lire et a également toujours aimé écrire, que ce soit des nouvelles, des poèmes, des chansons ou des romans. Ayant hérité de son grand-père ce goût de la plume, elle a à peine dix ans lorsqu’elle écrit son premier poème, « l’analyse rose » où les sujets, verbes et COD valsent dans une analyse grammaticale pas comme les autres. Son institutrice de CM2 tente de faire publier le poème, mais sans succès. En grandissant, Christelle multiplie les poèmes, chansons et petits textes, mais toujours à titre personnel. Elle passe évidemment un bac littéraire, et durant ses études, l’un de ses professeurs de français, admiratif devant la qualité de ses dissertations, lui suggère d’essayer d’écrire un livre.
Devenue adulte, l’écriture devient alors un exutoire précieux, une source d’émotions sans cesse renouvelées et l’occasion de recherches approfondies. A vingt-trois ans, Christelle arrive seconde dans un concours de nouvelles régional. Puis alors qu’elle vient d’être maman, elle se décide à se lancer dans l’écriture d’un roman complet. Elle découvre alors sur Internet le Prix du Quai des Orfèvres et décide d’y participer. Son intérêt pour les romans de la littérature policière (entre autres ceux de Fred Vargas, Agatha Christie et Mary Higgins Clark) l’a aidé à écrire un roman policier complet, reposant sur la qualité de l’intrigue et de l’écriture. Férue d’histoire de France, Christelle n’hésite pas à s’en inspirer pour trouver le sujet de son livre. Et c’est le succès lorsque son premier roman, l’Ombre du Soleil, reçoit le Prix du Quai des Orfèvres 2006.
Elle écrira ensuite un roman, « Des diamants et des crimes » dans le cadre d’un concours organisé par le magasine Historia, où elle arrivera finaliste en 2007. Malheureusement, le projet ne se concrétisera pas et le roman ne sera jamais publié. En 2008, elle remporte également le premier prix d’un concours de poésie local avec un poème intitulé « Grain d’Ivresse ». Après quelques années où elle traverse un divorce difficile, Christelle Goffinet-Maurin publie son second roman, « 2vin ki G tué », paru aux Editions THOT en 2013. Parallèlement, elle signe un contrat avec les Editions « Nouvelles Plumes » pour la publication sous format e-book de son troisième roman, « La Dame de Pique ».
Travaillant actuellement sur plusieurs autres romans, Christelle Goffinet-Maurin poursuit en parallèle sa carrière professionnelle chez l’armateur CMA-CGM à Marseille, où elle exerce un métier qu’elle apprécie. Son temps libre, lui, est consacré à sa passion : l’écriture. L’objectif de Christelle Goffinet-Maurin est de prendre ses lecteurs « aux tripes » et de leur donner un plaisir identique à celui qu’elle éprouve en écrivant.
Devenue adulte, l’écriture devient alors un exutoire précieux, une source d’émotions sans cesse renouvelées et l’occasion de recherches approfondies. A vingt-trois ans, Christelle arrive seconde dans un concours de nouvelles régional. Puis alors qu’elle vient d’être maman, elle se décide à se lancer dans l’écriture d’un roman complet. Elle découvre alors sur Internet le Prix du Quai des Orfèvres et décide d’y participer. Son intérêt pour les romans de la littérature policière (entre autres ceux de Fred Vargas, Agatha Christie et Mary Higgins Clark) l’a aidé à écrire un roman policier complet, reposant sur la qualité de l’intrigue et de l’écriture. Férue d’histoire de France, Christelle n’hésite pas à s’en inspirer pour trouver le sujet de son livre. Et c’est le succès lorsque son premier roman, l’Ombre du Soleil, reçoit le Prix du Quai des Orfèvres 2006.
Elle écrira ensuite un roman, « Des diamants et des crimes » dans le cadre d’un concours organisé par le magasine Historia, où elle arrivera finaliste en 2007. Malheureusement, le projet ne se concrétisera pas et le roman ne sera jamais publié. En 2008, elle remporte également le premier prix d’un concours de poésie local avec un poème intitulé « Grain d’Ivresse ». Après quelques années où elle traverse un divorce difficile, Christelle Goffinet-Maurin publie son second roman, « 2vin ki G tué », paru aux Editions THOT en 2013. Parallèlement, elle signe un contrat avec les Editions « Nouvelles Plumes » pour la publication sous format e-book de son troisième roman, « La Dame de Pique ».
Travaillant actuellement sur plusieurs autres romans, Christelle Goffinet-Maurin poursuit en parallèle sa carrière professionnelle chez l’armateur CMA-CGM à Marseille, où elle exerce un métier qu’elle apprécie. Son temps libre, lui, est consacré à sa passion : l’écriture. L’objectif de Christelle Goffinet-Maurin est de prendre ses lecteurs « aux tripes » et de leur donner un plaisir identique à celui qu’elle éprouve en écrivant.
Motivations
Bonjour chers internautes qui allez voter pour moi :)
J'espère vous donner envie de m'offrir votre vote, j'espère pouvoir captiver votre attention, sur mes livres, sur mon profil, bref, j'espère que vous me donnerez la chance de participer à cette aventure, et je vous en remercie d'avance !
C'est avec beaucoup d'enthousiasme que je pose ma candidature pour avoir la chance de participer à l'aventure de l’académie Balzac.
Le concept m'a immédiatement séduite, et ce pour plusieurs raisons. Tout d'abord, j'y vois l'opportunité de vivre une expérience formidable et pour moi toute nouvelle : adopter le temps de l'aventure un mode de vie différent de mon quotidien, celui de la télé-réalité, et en profiter pour m'adonner sans entrave à la passion qui est la mienne depuis ma plus tendre enfance : l'écriture.
Participer à cette aventure m'offrirait également l'opportunité de rencontrer d'autres auteurs partageant ma passion. Et pour un écrivain, quel meilleur moyen d'enrichir ses idées, ses facultés de communication et son esprit tout entier que de travailler sur un roman à plusieurs mains ?
D’un point de vue purement personnel, le challenge de l’académie Balzac me donnerait aussi l'opportunité de réaliser un désir : celui de m'adonner à un style d'écriture différent des romans que j'ai publiés jusqu'à présent, c'est à dire de la littérature policière. J’ai envie d’écrire autre chose, des récits basés à la fois sur du vécu, de l’imaginaire, des problèmes contemporains, mais avec en commun l’émotion que j’ai appris à faire passer dans ma plume, afin que mes lecteurs prennent autant de plaisir à lire mes romans que je n’en aurai eu à les écrire. J’ai également envie d’écrire sur des sujets qui composent le quotidien de la vie avec ses bonheurs et ses tracas, des histoires où les lecteurs auront l’impression de se reconnaître au travers des personnages et des drames vécus. Tous les sujets sont riches si on sait les regarder sous le bon angle.
A bientôt,
Christelle
Photo(s)
Livre(s)
Mes défis
Défi auteur n°1 : L’Écriture sans verbes
MAUX ET MOTS
Maux de cœurs, maux de tête étalés sous des mots Blessures évoquées comme sur des journaux Combien de souvenirs endormis dans mon cœur Mots flous sans verbes crus pour le trouble et la peur
Yeux ouverts dans le noir, vagues d’humiliation Au souvenir des jours et des maux endurés Mon âme torturée par cent mille questions Folle envie de silence et puis d’obscurité
Pourquoi, oh mais pourquoi ce besoin viscéral De lettres mélangées sorties d’un tunnel noir Pourquoi l’apaisement presque paradoxal D’un malaise…
Défi auteur n°2 : « Do you speak encore français ? »
Les papillons noirs
Pire que la déprime : la papillonoirose (spleen ou blues). Inconnue des forts, des optimistes qui la qualifieront de comédillusion (bluff), elle peut me laisser moi, vulnérable chose, sur le carreau en seulement une heure. Relativement dissipée par le travail en semaine, elle se rattrape à chaque hebdopause (week-end). La contemporoversion (remake) de ce qui rongea Baudelaire dans « Les Fleurs du Mal ». Et elle est tout sauf honnefiable (fair-play). Elle glisse, insidieuse, lorsque je m’y attends…
Défi auteur n°3 : Je ne conclus pas, je termine !
Le prix d'une vie
« Voilà, c’est terminé » Répétant inlassablement ces mots, Pauline marchait sur les quais, indifférente au soleil couchant qui parait le fleuve d’un voile d’or. Malgré la légèreté de sa démarche, son cœur était de plomb. La police judiciaire venait de rendre les conclusions de l’enquête, reconnaissant son oncle Gilles coupable. Coupable d’avoir assassiné Laurine, sa sœur jumelle, et d’avoir tenté de la tuer elle, Pauline, avant de se suicider. Le commissaire Sartini venait de lui faire lire la lettre contenant…
Mes récits
A toi, à nous
Etait-ce un bel adieu, était-ce un au-revoir
Qui peut savoir au fond, ce que cache un regard
Ou bien si certains mots, prononcés certains jours
Resteront inchangés demain ou bien toujours
Te perdre en fait, pourquoi ? Parce que tu me désires
Et même plus encore, je le sens, je le sais
La suite inéluctable, tu ne veux pas la lire
Tu dis que nous n’avons pas le droit d’y céder
Je ne peux qu’approuver, admirer ta droiture
Qui me prouve quel homme merveilleux tu es
Même si renoncer est une déchirure…
La lettre d’Auschwitz
Trois heures du matin. Dans la nuit glaciale de janvier, des centaines et des centaines de spectres blafards en pyjama rayé se tiennent debout, les uns contre les autres, sur une place balayée par le vent tandis qu’une voix stridente hurle des numéros de matricule, les uns après les autres. A mesure que les minutes passent, des corps, mais peut-on encore appeler corps ces lambeaux de peau grise flottant sur de maigres ossements, s’écroulent par ci par là, clairsemant brièvement les rangs avant que…
Grain d’ivresse
Sous le soleil d’été, les fruits charnus et ronds
S’épanouissent au fil de la belle saison
Et pareils à la bouche d’une femme amoureuse
Gonflent les grains bleutés à la chair savoureuse
Ah, quelle volupté dans les grappes odorantes
Presque à maturité mais encore indolentes
Attendant patiemment qu’enfin le vendangeur
Se penche au milieu d’elles et goûte leur douceur
Puis d’un geste précis, plein de délicatesse
A la fois sensuel et empreint de tendresse
L’homme tendra la main vers le fruit de l’ivresse
Afin…
Des roses en décembre
Je suis assise sur le banc en fer forgé, juste sous la fenêtre du garage. Il fait froid, c’est le 3 décembre déjà. Je frissonne malgré mon blouson fourré. J’ai toujours été frileuse. Mais je n’ai pas envie de rentrer. Parce que malgré la température qui avoisine les 5°, le ciel est d’un bleu pur, lavé par le vent d’hiver et un soleil pâle mais résistant l’orne. Sous sa caresse, Ingrid Bergman semble ouvrir davantage son cœur, tandis que Lili Marleen, plus dolente, se contente d’incliner la tête dans sa lumière.…
La princesse et ses prétendants
Il était une fois une princesse qui rêvait du grand amour. Le roi son père annonça donc publiquement dans le royaume que sa fille accorderait sa main à l’homme qu’elle estimerait capable de la rendre heureuse. Les épreuves devaient avoir lieu dans la salle du trône que les fées, marraines de la jeune femme, avaient parsemé de poussière de vérité, afin que les hommes questionnés ne puissent pas mentir. Les prétendants affluèrent de toutes parts et se pressèrent aux portes du château. Le premier à être reçu…
Georges, mon unique
Je marchais solitaire au sein de nulle part
Jusqu’au jour où mes yeux ont croisé ton regard
Tu fus de mon passé le point final et sûr
Et la première lettre écrivant mon futur
Tes lèvres en se posant sur les miennes ont fait naître
Un bouquet de délices au tréfonds de mon être
J’ai su que tu étais celui que j’attendais
Celui qui devait prendre place à mes côtés
Tu es tout à la fois, ma force et ma faiblesse
Forte de ton amour, faible sous tes caresses
Amputée de mon cœur quand je suis loin de toi
Un siècle…
Extrait de "Love me et personne d’autre"
Voilà, je l’ai donc à nouveau quitté il y a 3 jours. Je n’ai pas eu la force de le faire le 1er mai, non, lui dire que tout était terminé le jour de notre anniversaire, c’était au-dessus de mes forces. Forces déjà mises à rude épreuve par le fait de n’avoir pas passé cette journée avec lui. Je n’ai pas voulu le voir. Sinon, je n’aurais pas pu le quitter. Mais après tout, cela fait tellement de fois que je le quitte que je ne les compte même plus. Depuis un an, ce n’est qu’un enchevêtrement de « je te prends,…
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